APPEL A CANDIDATURE


Chercheurs, Etudiants, Créateurs... du monde entier.

Rejoignez-nous à la Société Internationale de Natiométrie pour  bâtir ensemble un monde plus sûr.

 

Une Logistique. Un Consortium. Une Communauté.

Trois solutions réalistes d'une organisation scientifique engagée sur la voie de la Recherche et du Developpement.

      

 

Conscient du fait que :

. La Science, avant qu'elle ne soit un métier réservé à une élite, elle est une institution sociale, elle ne peut être coupée de son environnement naturel.

. La Technologie, avant qu'elle ne soit un bien de consommation, elle est un choix civilisationnel, une réponse consciente aux défis de chaque époque.

. La richesse d'une Nation, avant qu'elle ne soit le volume de ses réserves de change, elle est la cohésion de son peuple, c'est une question d'interdépendance de ses membres.

. La liberté des peuples, avant qu'elle ne soit une idée philosophique, elle est une nécessité vitale, elle ne peut se réaliser que conformément aux lois de la nature.

. La paix dans le monde, avant qu'elle ne s’obtienne par les armes, elle se cultive dans les âmes, c’est une question d’harmonie entre la fin et les moyens.

 

       Le Groupement d'Intérêt Scientifique pour une Nation Technologique "G.I.S.N.T" développe à l’intention des peuples du monde entier, un moyen de synchronisation optimal, une possibilité de conscience universelle garante de la continuité de l’espèce et de la préservation de la terre, une technologie dénommée "le Natiomètre".   

       L’intelligence humaine n’a pas encore épuisé les trésors de sagesse accumulés depuis des centaines de milliers d’années d’existence sur terre, pour sombrer aujourd’hui dans une attitude de stress et de tension permanents qui caractérisent la jeunesse et l’inexpérience. Un meilleur usage de ces trésors, ouvrira à l’humanité des horizons jusque-là insoupçonnés. Des horizons divers et multiples en abondance. C’est cela l’intelligence, autrement c’est la résignation et la soumission devant la bêtise et l’insolence.  Cet  appel est adressé à l’ensemble des forces vives des nations du monde entiers qui partagent l’amour de la liberté, l’attachement à la terre et l’aspiration à la paix, dans la perspective de développer ensemble un système international plus intelligent, à côté du système international actuel, qui semble avoir trouvé dans le marché et la guerre, la philosophie et l’art essentiels à son renouvellement, au risque de mettre en péril la vie sur la terre entière.

       Il ne s’agit pas de donner la réplique au système international actuel, mais plutôt, un étalon. Un système de mesure universel, capable de rendre compte en temps réel de l’état d’évolution des nations, et permettra l’élaboration d’un référent universel sur lequel chaque peuple pourra ajuster son comportement vis-à-vis des communautés internationales, et chaque individu vis-à-vis de ses compatriotes et du reste du monde. L’intensité et la vitesse des échanges de toutes natures dans le monde, appellent à plus de prudence et de précision. En se basant sur la nature cyclique des dynamiques sociales, une représentation de la fréquence d’apparition d’une classe de régularités, caractérisant les grands ensembles humains depuis la nuit des temps, a permis à notre équipe de recherche de construire l’espace des phases du phénomène «nation», c'est-à-dire, sa propre logique d’évolution, et de déterminer la loi physique qui le régit. Il est convenu à ce stade de procéder à l’aménagement d’espaces d’intervention communs aux différentes disciplines afin de réaliser le système de mesure en question.

       Le suffrage universel n’est qu’une solution provisoire, les avancées considérables de la physique, la biologie et des mathématiques devraient nous permettre, en principe, de concevoir un meilleur mode d’expression de la volonté des peuples, sans sacrifier celle des individus. On ne peut prétendre à la civilisation tant que la loi du plus fort trouve encore un moyen d’expression aussi puissant que le principe de la majorité. Au moment où la science nous apprend que c’est par singularité que l’évolution procède, il devient nécessaire de revoir notre perception de l’avenir de l’humanité. Il ne s’agit pas d’une révolution, mais d'avantage, la consécration d’un acquis essentiel de l’évolution humaine, la souveraineté de la raison. Après l’exploration de l’infiniment petit, et de l’infiniment grand, qui ont permis la maîtrise de l’espace, c’est vers l’infiniment horizontal qu’il faudra désormais se tourner, afin de réaliser celle du temps.

       C'est dans cette perspéctive que nous ouvrons à la création de La Société Internationale de Natiomètrie, son siège social sera à Genève en raison du caractère et de la tradition de neutralité en matière de relation internationale de la confédération Hélvétique. L'objet principal de ladite société est le déploiement à travers le monde de la technologie du Natiométre et le développement de l'ensemble des techniques et savoirs faire ayant un rapport de prés ou de loin avec son objet, à savoir le diagnostic de l'état de santé des nations. Les  compétences, les procédés et protocoles rassemblés sous l'appellation de " Natiométrie", constitueront un nouveau corps de métier, voire une nouvelle discipline scientifique que fonde la "loi scientifique sur l'évolution des Nations", formalisme mathématique développé par une équipe pluridisciplinaire au sein du GISNT.  A cet effet, les droits exclusifs d'exploitation de la technologie du Natiométre, mise au point par GISNT et enrigistré à l'OMPI sous le n° PCT/IB2019/000707,  sont accordés à ladite société.

       Les conditions réelles et globales d’une nation, ne peuvent être suffisamment appréciées, sans un diagnostic exhaustif, que malheureusement la fragmentation des points de vue des sciences humaines et sociales et la disparité des systèmes de mesure et méthodes d'investigation, compliquent davantage la tâche, et aboutissent dans la plupart des cas à des solutions partielles, et parfois même contradictoires. Aux différences de langage, d'angles de vue, s'ajoutent les cloisons disciplinaires, une disposition qui rend difficile la communication entre scientifiques, dès lors, la compréhension globale des phénomènes humains échappe aux scientifiques, eux-mêmes, et demeure inaccessible aux grand public, ce qui provoque systématiquement, une rupture entre la science et le peuple, et met sérieusement la civilisation humaine en péril.  La construction d'un langage commun, le rapprochement d'angles de vues, le travail interdisciplinaire, constitue devant cette situation, l'un des défis majeurs, que doit relever la société internationale de natiométrie en vue de dépasser le statut quo, et d'envisager, une action synchronisée des différentes disciplines scientifiques.

       C’est pour répondre à cet impératif à même de nous permettre de relever le défi scientifique, que le Centre de recherche et développent GISNT, lance le programme T.N.S (Technological Nation System) destiné à la fédération, à travers le monde, de scientifiques de différentes disciplines, aussi bien, des sciences humaines et sociales, que des sciences exactes, des sciences de la nature et de la vie, et de la physique. Et à cet effet, une application web  (www.gisnt.org) est déjà mise en ligne, afin d’assurer dans un premier temps une communication large sur les résultats de recherches, et puis d’engager dans un second temps la mobilisation des ressources scientifiques, techniques et institutionnelles, en fonction des besoins de chaque étape du développement du système. L’application est conçue en moteur de recherche spécialisé dans le domaine de diagnostic des nations, elle est composée de quatre plates-formes, la première est destinée au grand public, elle est le média du programme, la seconde aux candidats au programme, la troisième au collaborateurs du programme, la quatrième à la communauté du programme.

        Le programme porte sur la possibilité de rendre les sciences humaines et sociales exactes à la manière de la physique et de la biologie. Celles-ci n'y ont abouti qu’après avoir réussi à mettre au point des instruments et systèmes de mesure universels ayant permis une visualisation et quantification de leurs objets d’étude. C‘est le cas du télescope avec Galileo Galilée, qui a réussi grâce à cet instrument, la vérification des observations de ses prédécesseurs, et de construire un système cosmologique juste et vérifiable, permettant ainsi à Isaac Newton de codifier les lois fondamentales de la physique. C’est aussi le cas du microscope avec Antonio Van Leeuwenhoek, ayant réussi grâce à cet outil de mettre en évidence l’existence de micro-organismes invisibles à l’œil nu, ce qui permis à Luis Pasteur de formuler les bases de la microbiologie, fondement de la médecine actuelle. Pour ne citer que ces deux exemples célèbres ayant ouvert la voie à l’humanité pour la connaissance exacte de l’infiniment petit et de l’infiniment grand.

        C'est à un résultat de cette nature que l’équipe de scientifiques du centre de recherche et développement technologique G.I.S.N.T, est arrivée aujourd’hui dans le domaine des sciences humaines et sociales. Elle a mis au point un instrument de diagnostic des nations en temps réel, grâce à un procédé de modélisation approprié à la complexité du phénomène nationen tant que méta-système (y compris le système économique, social, culturel, etc.), procédé ayant donné lieu en 2014 à la formalisation d’une loi scientifique sur l’évolution des Nations (un formalisme mathématique), en terme de résultat de recherche fondamentale. Sur la base de quoi, est engagé un processus de développement d'un dispositif technologique en mesure de relever le défi de la visualisation et de la quantification du phénomène. Processus qui a abouti en 2016 à la conception d'un supercalculateur  consacré au diagnostic des nations, technologie dénommé "Le Natiomètre".

       Trois domaines  d'applications technologiques en terme d’objectif pratique sont possibles :

       1. Application grand public comme outil d’orientation sociétale.

       2. Application entreprise comme outil d’intelligence économique.

       3. Application gouvernement comme outil de gouvernance scientifique.

        Il est convenu à ce stade de procéder à la seconde phase, l’internationalisation du programme. Il s’agit dans un premier temps de déployer une infrastructure numérique à l’échelle mondiale afin d’assurer la participation du maximum de scientifiques, entreprises et gouvernements à travers le monde au programme, dans la perspective de préparer les conditions de la généralisation de ce système de mesure et de diagnostic des nations. Celui-ci basé sur les avancées les plus récentes de la physique, de la biologie, et des mathématiques ouvrira inéluctablement à l’humanité un Nouvel Horizon.

       

Béjaia, le  01 Septembre 2020.

Amirouche LAMRANI et Ania BENADJAOUD

Directeurs  Associés du GISNT.